Last but not least, j'ai des amis qui peuvent s'adonner plus souvent que moi au plaisir de la lecture, et qui ont accepté de m'envoyer leurs avis sur quelques bons livres.
Merci donc à F. qui ouvre le bal et nous livre ses impressions sur "la passion Lippi".
Je lui laisse la parole :
« Comment faire battre à l’unisson des mots aussi contrastés que 'Filippo', ‘Peinture’ , ‘Plaisir' et 'Passion'? »
« On retrouvera au sortir du prisme que peut être la lecture de cette œuvre, drapé d'une teinte claire, le reflet des gestes rapides et précis du personnage central: Filippo Lippi. Dans une teinte plus écarlate, on discernera un style d’écriture qui ne peut laisser indifférent: celui de Sophie Chauveau.
On pourra tour à tour rire ou pleurer avec la famille Lippi, s’enorgueillir de se retrouver l’ami de Cosme puis de Pierre de Médicis. On se laissera emporter par cet ouragan de plaisirs : ceux des yeux et de l’esprit, mêlés à certains nettement plus terrestres...
Par le truchement de ce roman, on assistera à l’éclosion d’un génie de la peinture, on le coursera en s’engouffrant dans sa vie de débauche et d’amour, pour enfin s’échouer avec lui -tous deux harassés- dans son lit de mort.
Une envie irrésistible nous dévorera: celle de poser notre main sur celle qui tient le pinceau, puis de nos yeux suivre la caresse d'un regard qui illumine la nuque de ‘sa’ Lucrezia.
On vivra un grand moment de bonheur, qui nous laissera pantois, dans un état proche de 'sa' béatitude face à la Nativité.
Oui, pas de doute, c’est bien cela : dans ce roman Sophie Chauveau a eue l’art de faire battre à l’unisson de notre propre pouls les frasques de Filippo, les mots ‘Peinture’ , ‘Plaisirs’ et ‘Passion’. »
On pourra tour à tour rire ou pleurer avec la famille Lippi, s’enorgueillir de se retrouver l’ami de Cosme puis de Pierre de Médicis. On se laissera emporter par cet ouragan de plaisirs : ceux des yeux et de l’esprit, mêlés à certains nettement plus terrestres...
Par le truchement de ce roman, on assistera à l’éclosion d’un génie de la peinture, on le coursera en s’engouffrant dans sa vie de débauche et d’amour, pour enfin s’échouer avec lui -tous deux harassés- dans son lit de mort.
Une envie irrésistible nous dévorera: celle de poser notre main sur celle qui tient le pinceau, puis de nos yeux suivre la caresse d'un regard qui illumine la nuque de ‘sa’ Lucrezia.
On vivra un grand moment de bonheur, qui nous laissera pantois, dans un état proche de 'sa' béatitude face à la Nativité.
Oui, pas de doute, c’est bien cela : dans ce roman Sophie Chauveau a eue l’art de faire battre à l’unisson de notre propre pouls les frasques de Filippo, les mots ‘Peinture’ , ‘Plaisirs’ et ‘Passion’. »
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