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dimanche 22 mars 2009

I am because we are : sortie le 25 mars

Sur le sida, chacun y va actuellement de son petit commentaire. Le sujet est trop grave pour polémiquer.

J'ai pour ma part trois amis touchés par le fléau. Autant dire que je suis touchée moi aussi ! Cette petite phrase "I am because they are" correspond exactement à ce que je ressens à leurs côtés. If they are no more, I won't be the same. Voilà de quoi introduire le sujet de ce documentaire qui ouvre le yeux, je pense, sur une situation qui dépasse tellement, semble-t-il, ceux qui veulent moraliser le débat.



Bon, je vous en dirai plus lorsque j'aurai vu le film.

bon dimanche !

Géraldine

vendredi 30 janvier 2009

fighting spirit of love

What you gonna do when your love is gone
Who you gonna play when the game has ended
Where you gonna go when the bird has flown
How you gonna play when you're all alone

Chorus:
Keep the fighting spirit of love
Keep the fighting spirit of love

What you gonna do when you're on your own
What you gonna have when you got no place to call your own
What you gonna try when your cover's blown
How you gonna fly when your wings are broken

(chorus)
Keep the fighting spirit of love

Don't let it get you down
Keep the fighting spirit and turn your head around
Don't let it take you in
Keep the fighting spirit and you'll begin again

Je ne peux résister à l'idée de vous partager cette chanson qui a bien tourné dans ma tête aujourd'hui.

Belle soirée et bon week-end,

Géraldine

vendredi 2 janvier 2009

"Je suis l'impératrice" !

Voici une autre facette de Madonna, la madone qui s'essaie au français. A écouter quand le temps n'est pas suitable pour les mouches en short, car c'est irrésistible.

bonne année !

Géraldine

dimanche 23 novembre 2008

The look of Love

Should have left you standing right where you stood
Should have let you go, should have had the sense to know
Like a train you'd come, and I'd lose my place
Now I'm on this trip, I took a fall from grace

Chorus:

Nowhere to run, nowhere to hide
From the look of love, from the eyes of pride
Nowhere to go, no place to run
From the look of love, now I've come undone

I've had a map laid out from the day I was born
But the roads are blocked, and the paper is worn
And all the books I've read, and the things I know
Never taught me to laugh, never taught to let go

(chorus)

My conscience is clear I know right from wrong
That's a lie I know nothing except that you're gone
But there's more to learn from the look in your eyes
That trip round this world, the stars in the sky

Now all the books I've read, and the things I know
Never taught me to live, never taught me to let go

(chorus)

Nowhere to run, nowhere to hide
From the look of love, Lord knows I've tried
Nowhere to go, no place to run
From the look of love, now I've come undone

[Nowhere to hide]
[No place to run]
[Nowhere to hide]
[No place to run]

Another song I wanted to share with you... From that time were Live was so good for Madonna. This video comes from the live of the "Who's that girl tour" and the song from the so-called album.

I like this song, don't really know why. It's quite ambiguous, hard to interprete. But it reminds me of all the walls I had to break to live my own life. Push girl, push all those walls preventing you to see the sun and the path of your own life! Who's got the look of love? God, for me yes. So yes "Nowhere to run, nowhere to hide From the look of love".

Well, dont' know what you think about it. As for me, it sounds like I found a great tool to push those walls off my life and it's great !

Enjoy the video ! Such a long time I hadn't post about Madonna ! Sorry for those who are not fans !

Have a grat week,

Géraldine

mardi 7 octobre 2008

What pics can inspire !

According to you, what's in her mind ?

1/ I'm giving a f****** performance tonight

2/ With this financial crash, I'm losing money and how am I gonna survive ?

3/ I'm definitly getting older, and time has come for me to do something else that jumping like I do every night in the show


Ok, it's quite naughty, but Madonna has self humour, I hope. Well, all that to say that I prefer so much the two pics beneath, where I've hardy seen her so beautiful.


dimanche 14 septembre 2008

Benoît XVI à Lourdes



Ce matin est un jour spécial pour l'Eglise en France. Le Pape est à Lourdes, et j'ai allumé la télé durant mon petit déj, chose rarissime pour voir quelques images de cet événement peu courant. Premier constat, temps clément, très clément, j'y vois un clin Dieu, car en cette époque de l'année et après tous les coups durs climatiques de ces derniers jours en France, c'était pas gagné !

Bon, et ensuite ? Ensuite, j'ai vu la papamobile traverser un grand champ empli de fervents catholiques scander le nom du Pape "Benedetto, benedetto", suivant un rituel inventé par les jeunes des JMJ du temps de Jean-Paul II. J'ai participé à deux JMJ, celle de Paris et celle de Rome durant le temps d'Episcopat de Jean-Paul II et j'avoue n'avoir jamais adhéré à ces moments de foule un peu trop "fan"atique à mon goût. Vraiment, ça me fait penser à un grand concert de Pop plutôt qu'à une Eucharistie. Et à ce compte-là, franchement, je préfère aller voir Madonna. Il y a moins d'hypocrisie. Là, on sait qu'on est venu à un concert, qu'on est fan, qu'on a payé pour toute cette débauche de fric que révèlent ses shows à l'Américaine ! Et franchement, la musique est incomparablement plus vivante... Vraiment ce matin, en attendant le début de la Messe à Lourdes, on se demandait si on ne préparait pas un enterrement ! Trompette de la mort et tutti quanti ! Pourquoi religion doit-il rimer en France au moins avec tant de rigueur ? C'est dommage ! L'Eucharistie est un repas partagé avec le Christ et un repas est un moment de conivialité.

Bref, tous ces trucs de catholicisme romain m'ont rapidement ennuyée, le ton convenu du Pape aussi et je me suis réjouis de deux choses : d'abord être allée voir Madonna à Nice, il y a quelques semaines (même si j'ai été déçue par la prestation !) plutôt que d'avoir prévu de me rendre à Lourdes aujourd'hui, ensuite me rendre à la Messe ce soir pour une vraie rencontre avec le Christ sans flabala !

Bien sûr mon discours choque les plus convaincus, bien sûr il ne faut pas écrire des choses pareilles quand on est un bon chrétien. Bonne question... être un bon chrétien ! Mais qu'est ce que cela veut dire? Le Christ nous invite à prier le Père dans le secret. Dans le secret? Le secret du coeur, ce qui signifie que la foi que le Seigneur regarde n'est pas tant celle que nous voulons trop souvent afficher dans les Eglises ou les assemblées convenues, mais celle qui nous anime de l'intérieur aussi discrète soit-elle aux yeux du monde.

Ceci dit, j'aime Lourdes, le lieu saint. J'y ai fait plusieurs pèlerinages avec des personnes malades ou handicapées, à leur service durant une semaine. Et j'ai rarement été aussi heureuse que dans ces moments-là. Pour plusieurs raisons, d'abord parce qu'en franchissant le portail du Sanctuaire, je suis immédiatement envelopée d'une paix profonde, ensuite parce que dans ce sanctuaire où logent les personnes malades ou handicapées dont j'avais la charge avec les hospitaliers et hospitalières du diocèse d'Aix, la différence s'estompe... Elle prend sens. Les personnes handicapées ne sont plus regardées avec mépris ou curiosité malsaine, elles vivent comme des êtres humains, tout simplement, et c'est si rare. Là tout est fait pour que leur handicap n'en soit plus un. Et je n'ai jamais rencontré ailleurs un lieu pareil. Alors oui, Lourdes est un endroit magnifique.

Allez, avant de vous laisser vivre dans la paix ce beau dimanche de septembre, c'est aujourdhui la fête de l'exhaltation de la Croix, je vous livre une petite info apprise dans le dernier numéro de studio : Savez-vous pourquoi Madonna a appelé sa fille Lourdes ? He bien, parce que Lourdes est un lieu que la mère de Madonna aurait voulu visiter, mais le cancer du sein qui l'a emportée à la trentaine ne lui en a pas laissé le temps. Alors Madonna a voulu appeler sa fille Lourdes en l'honneur de sa mère. C'est beau en soi, mais Madonna aurait dû se renseigner sur le poids qu'on peut infliger à ses enfants en leur donnant un nom chargé des souffrances de ses ascendants. Sans jeu de mot, c'est lourd à porter pour sa fille !

Bon dimanche !

Géraldine

lundi 1 septembre 2008

Candy station : une radio où vous n'entendrez que du Madonna

A défaut d'être sortie ravie du fameux concert, je me suis consolée en trouvant sur le web un article accessible via le lien ci-après “Candy Radio” by Live Nation et Roberto Cuirléo ! qui détaille l'existence d'une radio qui ne passe que du Madonna.

Voilà une bonne initiative pour celles et ceux qui carburent au "Madonna sans plomb" et petage de plombs assuré pour les autres... Faites votre choix !

Géraldine

jeudi 28 août 2008

Sticky and Sweet tour, show de Nice : ce que les médias en disent...

Voici quelques articles de presse à propos du fameux tour... Y'a des trucs bien la dedans !

bonne lecture,

Géraldine

Libération :
Madonna chère friandise
Pop. Avant ses deux concerts au Stade de France, la pimpante quinquagénaire a produit, mardi à Nice, un show pharaonique, millimétré et sans surprise mais qui fait recette.
Envoyé spécial à Nice Gilles renault
QUOTIDIEN : jeudi 28 août 2008
Madonna En concert au Stade de France, les 20 et 21 septembre.

Ce sont les places les plus chères qui sont parties les premières. Longtemps avant le show, plus aucun ticket à 188,50 euros ne circulait, tandis qu’on pouvait encore en trouver au prix de 62 euros. Cet ordre de grandeur produit un effet paradoxal : au marché noir, les revendeurs rament et finissent par consentir des ristournes à prix bradé.
Queen. A propos de grandeur, un autre aspect mérite d’être signalé : au stade Charles-Ehrmann de Nice, où Madonna donnait donc mardi le premier des trois concerts français de sa tournée mondiale, avant deux Stade de France dans un mois, les places les plus inabordables sont aussi les plus éloignées, tout au fond de l’enceinte, avec pour seule valeur ajoutée d’être assises. Si bien que lorsque la star paraît, juchée sur un trône conforme à l’idée qu’elle a de son rang, la Queen of Pop ressemble à un Playmobil débarqué sur une scène d’autant plus vide qu’on a pris soin de cantonner les musiciens sur les côtés.
La campagne 2008 de Madonna s’intitule Sticky and Sweet Tour. Les deux adjectifs ont une évidente connotation sensorielle, sinon sexuelle, alors que, du propos, émane à peu près constamment une humeur prophylactique. Comme toujours, dans ce type d’entreprise, on brandit des chiffre à effet pharaoniques : une scène télescopique de 50 mètres de long, 90 de large, 20 de haut, 600 roadies, 16 danseurs, 12 musiciens, une Rolls, huit costumes (Givenchy, Tom Ford, Miu Miu, Gucci, Stella McCartney…) et la diva qui avance tel un rouleau-compresseur montant de nouveau au front.
La tournée qui a commencé le week-end dernier à Cardiff et couvre 49 dates (Europe, Etats-Unis, Canada, Mexique), se présente sous un jour ambigu. On nous rappelle que Hard Candy, le nouvel album de Madonna, est ou a été n° 1 dans vingt-sept pays. Mais cette réalité masque des aspects moins implacables : qualitativement - et malgré les renforts carrossés de la scène rap et r’n’b -, le disque a été, de l’avis majoritaire, une déception ; au demeurant, ses chiffres de vente sont restés très en deçà des espérances.
Nique. Si Madonna roule encore aujourd’hui sur l’or, c’est à la scène qu’elle le doit (on estime ses gains à 200 millions de dollars sur la précédente tournée). Mais elle arrive à un âge (50 ans, le 16 août dernier) où, a fortiori dans les épreuves de vitesse, il faut veiller à ne pas disputer la course de trop. Or, le cas intrigue, au moins génétiquement parlant (la musique ayant cet avantage sur le sport que jamais le dopage n’est dépisté) : mamie Louise continue de faire la nique à celle qui, de Britney S. à Hanna M., incarnent ses élèves. Aujourd’hui, autant qu’hier, Madonna court, saute, bondit, rampe, parade dans une forme de nettoyage par le vide technologique où la débauche des décors d’antan le cède à des écrans qui, en fond de scène, déglutissent des vidéos, et, sur les côtés, détaillent ce qui se passe sur le plateau. Mais à cent mètres de distance, les écrans paraissent vraiment riquiqui, ne divulguant pas grand-chose de l’action. Au centre du show, l’équivoque règne avec une Madonna qui ripoline son fond de commerce SM jadis sulfureux et remet une couche sur ce poids des ans que son corps réfute : guêpière et bas résille, puis short rouge de pom-pom girl, démonstration de saut à la corde et lunette Lolita en forme de cœur. Dix-neuf chansons figurent à ce menu quasiment immuable. La moitié émanent du nouvel album, l’autre étant constituée de tubes souvent transfigurés (Into the Groove techno sur une animation Keith Haring) ou de rareté à côté de la plaque (un You Must Love Me intimiste exhumé de la BO d’Evita).
Gimmick. Une heure cinquante, sans rappel, et quatre parties. Au milieu, Madonna investit deux domaines où elle se révèle plus que balourde : le «rock», avec simili solos (Heartbeat, Borderline - justement) et la «world» (Spanish Lesson, Miles Away, la Isla Bonita revus à la sauce manouche, avec violon, guitare et faciès burinés jouant les utilités besogneuses). A l’inverse, cette absence de raffinement se commue en argument quand il s’agit d’envoyer la cavalerie dance, avec les duos filmés des Timbaland, Kanye West, Pharrell et Justin Timberlake du CD. «Tic tac tic tac…», gimmick efficace de 4 Minutes, le hit de Hard Candy, explose au moment d’ouvrir le dernier chapitre où Ray of Light précède dans un bombardement de lumières intergalactiques l’ultime Give It To Me… en flagrant délit de play-back.
A Nice, la rumeur fantasmait sur une visite de Barack Obama, au lieu de quoi ce furent Bono, Elton John et Laurent Gerra. Obama était quand même «présent» dans une de ces provocations dont Madonna, super pro de la com’, s’est fait une marque de fabrique : à vingt minutes de la fin, un montage d’images détaille sur les écrans une vision du monde simplette. D’un côté les méchants (bouh !) Hitler, des terroristes, Mugabé, John McCain («comparaisons scandaleuses, inacceptables et de nature à diviser», a déclaré le porte-parole de ce dernier, qui a mordu à l’hameçon), et de l’autre, les gentils, Lennon, Bono, Luther King, Michael Moore (!) et Obama donc.
Et puis, comme de coutume, ces photos culpabilisantes d’enfants africains à l’agonie, le ventre gonflé par la faim, au centre d’une scène encadrée par deux gigantesques M éclairés comme des diamants.

Madonna souffle le show et le froid
Olivier Nuc 27/08/2008

Madonna, qui vient de fêter ses 50 ans, a réalisé une véritable performance physique au stade Charles­-Ehrmann de Nice, où elle ne s'était pas pro­duite depuis 1990. Crédits photo : AP
À Nice, première halte française de sa tournée «Sticky and Sweet», la star offre un show où le mauvais goût côtoie des moments glorieux.

Il arpente la tribune de long en large, agitant une petite banderole sur laquelle est écrit, en anglais : «Joyeux anniversaire Madonna, arrête de m'appeler, s'il te plaît.» Manière amusante pour ce fan de signaler que la star, qui chante sous ses yeux, vient de célébrer ses cinquante ans. Elton John et Bono ont eux aussi fait le déplacement pour souffler les bougies en sa compagnie, mais elle n'aurait pas daigné les recevoir dans sa loge.
Pour la deuxième date de son Sticky and Sweet Tour, après ­Cardiff le 23 août, Madonna retrouvait le stade Charles­Ehrmann de Nice, où elle ne s'était pas pro­duite depuis 1990. Alors que la diva a été chahutée tout l'été par une presse people la soupçonnant d'avoir une liaison avec un joueur de base-ball, que son mariage semble sérieusement battre de l'aile et que son frère publie une biographie en forme de règlement de comptes, l'enjeu de cette tournée est colossal. De même que les moyens mis à disposition par Live Nation, le géant américain de l'industrie du spectacle qui contrôle désormais toutes les étapes de sa carrière, de l'enregistrement de ses albums aux tournées en passant par les droits dérivés : 250 employés, 653 heures de répétition, 28 musiciens et danseurs. De quoi composer un show mémorable ? Pas sûr.
Flanquée de deux M géants, la scène s'illumine pour accueillir Madonna sur son trône, en guê­pière, bottes et bas-résille. La revue façon Broadway se décline autour de quatre tableaux, tandis que le répertoire privilégie Hard Candy, dernier album en date, aux chiffres de vente décevants. Après une première partie assez poussive autour de l'esthétique gangsters des années 1920 (Rolls-Royce, rappeur en costume blanc), le spectacle trouve sa vitesse de croisière passée la première demi-heure seulement.
Vingt-cinq années de carrière
C'est sur les titres où elle joue de la guitare électrique (en mitaines) que Madonna s'incarne réellement face au public. L'évocation du New York des années disco lui offre l'occasion de revenir à la source de sa musique. Elle interprète même très faux Border­line, un de ses premiers succès. Une vidéo retraçant ses vingt-cinq années de carrière permet de vérifier que la star a passé son temps à se réinventer. Cette concession à la nostalgie sonne aujourd'hui moins comme un clin d'œil qu'une course désespérée après les bons souvenirs. Sur She's Not Me, Madonna entend rectifier le tir en terrassant des figurants représentant quatre de ses différentes incarnations. Paradoxalement, c'est à ce moment précis qu'elle apparaît la plus fragile et la plus touchante.
Un festif Music plus tard, ces états d'âme sont balayés par la séquence la plus hasardeuse du show. Flanquée d'un groupe de Gitans, Madonna verse alors dans une esthétique (alter ?)mondia­liste aussi révolutionnaire qu'une publicité Benetton du début des années 1990. Noyée sous les espagnolades et les bons sentiments, outrageusement accélérée, La Isla Bonita ne s'en remettra pas. En revanche, la magie opère à plein avec une chanson tirée de la ­bande-son du film Evita, dans un registre totalement acoustique.
Le dernier volet du spectacle s'ouvre sur une vidéo dans ­laquelle les figures du mal (Hitler, Khomeyni, Mugabe et… John McCain) sont opposées aux héros du bien (Al Gore, Ghandi, Lennon, Luther King, Angela Davis, Bill Clinton et… Obama, à deux reprises) sur fond de défense de la planète. Simon Wiesenthal et l'entourage du candidat républicain ont déjà pris la peine de dénoncer l'amalgame. En mettant dos à dos bons et méchants de façon aussi manichéenne, Madonna commet là une belle faute de goût.
Enchaînée efficacement, la cohorte de tubes finale (4 Minutes, Like A Prayer, Ray of Light, Hung Up) prouve que la quinquagénaire aux dizaines de millions de disques écoulés continue à planer au-dessus de la concurrence. Pourtant, par son manque de cohérence, ce spectacle ouvre de nombreuses interrogations sur son avenir artistique. Va-t-elle continuer à miser sur la performance physique et à jouer l'escalade ou développer un répertoire plus introspectif comme elle le laisse entrevoir par intermittence ?

Le Monde :
Madonna chante, danse et dérape
LE MONDE 27.08.08 16h56 • Mis à jour le 28.08.08 09h16
Nice Envoyé spécial

Il est 22 h 37, mardi 26 août, lorsque débute le troisième intermède vidéo du spectacle de Madonna au Parc des sports Charles-Ehrmann, à Nice. Le spectacle dure depuis environ une heure vingt. La chanson Get Stupid sert d'accompagnement à un déferlement d'images d'actualités.
Deux ou trois secondes par plan. Un avion qui décolle, un gros plan sur un thermomètre, une vue de la Terre depuis l'espace... puis une succession de méchants, Hitler, de dos, haranguant la foule, l'ayatollah Khomeiny, le président du Zimbabwe Robert Mugabe, le président de la Corée du Nord Kim Jong-il... et John McCain, candidat républicain à l'élection présidentielle américaine. Des images de guerre, de famine. Voilà les gentils, Gandhi, Nelson Mandela, Luther King, Lennon, Bono, Angela Davis (sic), Michael Moore (re- sic), J.-F. Kennedy... Une dernière note, une dernière image, Barack Obama, candidat démocrate à l'élection présidentielle.
Présenté lors du premier concert de la partie européenne du "Sticky and Sweet Tour" (collant et sucré), à Cardiff (Pays de Galles), samedi 23 août, ce clip qui met dans le même camp des dictateurs sanglants et John McCain a été suivi, le 24 août, d'une déclaration de l'équipe de campagne du candidat jugeant que ces "comparaisons sont tout à la fois scandaleuses, inacceptables et de nature à diviser" (Le Monde du 25 août).
Les organisations juives américaines Anti-Diffamation League et Simon Wiesenthal Center ont aussi dénoncé le procédé, le centre Wiesenthal y voyant une "insulte pour tous les Américains, démocrates autant que républicains".
C'est donc un propos politique au ras des pâquerettes qui va devenir l'élément provocateur que tout show de la chanteuse américaine se doit d'avoir. Passé le "scandale de Cardiff", l'insertion de M. McCain dans le clip, si elle est maintenue, pourrait trouver son plein impact lorsque la tournée arrivera aux Etats-Unis, à partir du 4 octobre, en pleine campagne électorale. Le show Madonna sera à San Diego (Californie) le 4 novembre, le jour de l'élection aux Etats-Unis. Aucun commentaire de l'entourage de Madonna à propos de la réaction de l'équipe McCain - et le silence de celle de M. Obama - et le maintien ou pas des images n'a accompagné le concert niçois.
Tant qu'à provoquer, Madonna était plus rigolote et parfois pertinente quand, autrefois, elle se tripotait la foufoune, roulait des gamelles à ses copines ou mimait les rites sado-maso. Dans le même ordre d'idées, elle aurait pu pour cette tournée se présenter en bourgeoise de 50 ans - Madonna les a eus le 16 août - recevant un plombier à la maison, qui ni une ni deux la renverse sur la table de la cuisine dans la plus gauloise des traditions du cinéma X.
Las, Madonna fait de la politique et délaisse les friandises affriolantes, à part un rapide baiser sur la bouche d'une danseuse (approbation dans les rangs du public), quelques coups de rein, un frotti-frotta sur une barre.
MOINS DE FANTAISIE
En revanche, Madonna fait beaucoup de sport. Saut à la corde, arpentage régulier de la scène, numéros chorégraphiques genre bonds du kangourou, combats de boxe... le tout accompagné de techno-pop-dance-rock joué par un groupe quasi invisible mais à fort volume. Sur les écrans, c'est une débauche de couleurs. Mais ça patine quelque peu, le son sature régulièrement, noyant la voix de la chanteuse - jamais essoufflée, magie d'un possible play-black ? - et les écrans qui n'affichent rien à plusieurs reprises.
Au répertoire de sa tournée 2008, Madonna a mis une vingtaine de chansons, dont neuf de son dernier album en date, Hard Candy. Ce qui est beaucoup pour un disque assez faiblard (Le Monde du 29 avril), mais ne manque pas de culot de la part de la chanteuse. L'ensemble, qui puise par ailleurs dans les succès d'un peu toutes les époques, a perdu la fantaisie des années 1980, recycle du déjà-vu mais bénéficie toujours de numéros efficaces.
Sortent du lot Into the Groove (1984), avec projections d'animations de dessins très colorés, très pop, de Keith Haring (1958-1990) ; She's Not Me, tiré de Hard Candy, où Madonna, dans un jeu de dénigrement habile, est en vidéo dans toutes ses incarnations depuis vingt-cinq ans tandis qu'elle donne, sur scène, une correction à ses anciennes Madonna personnalisées par des danseuses costumées ; La Isla Bonita, dont la couleur espagnole d'origine en 1986 vire à la fête gitane avec charrette renversée et violon rom ; Like a Prayer, de 1989, devenu scandaleux par un clip montrant la chanteuse attirée par un Christ noir.
Cette fois, les écrans sont couverts de phrases bibliques et de signes religieux qui ne risquent d'offenser que les athées, et Like a Prayer s'élance dans un gospel techno convaincant. Sinon, Madonna confirme sa passion récente pour la guitare. Elle a le bon goût de ne pas ériger l'instrument en symbole phallique, mais simplement de le maltraiter.

Sylvain Siclier

mercredi 27 août 2008

Madonna - Sticky and Sweet tour review of the show of Nice, South of France



So, I was ready... for the show, yesterday night ! I hadn't seen "la Madone" since the Girlie show. "Un bail" as we say in french ! I must say I have been disappointed. Several reasons to this deception : first of all, it seems that this is the first time that the stage was built up in such a short time, and as Madonna says "if it's bitter at the start, then it's sweeter in the end". I mean, we’ve had too many technical problems : video shutting off or being interrupted during the show, sounds problems : unclear voice of Madonna due to micro setting obviously and not in tone “Hung up” due to a problem of guitar and sound feed back ? It was thus “bitter” for us, but I hope it’ll be sweeter, before the end of the tour, for Madonna and her fans.

I’ve been worried nevertheless for Madonna being injured on the right thigh and wearing a 10or 15 cm bandage. Hope it is not serious and won’t prevent her from going on and on. Another thing surprised me : after a few songs, she said (and she obviously was not playing a game”) :”Jesus, I’m feeling tired”, by hanging on one of her dancers. So what ? Is she gonna get it right til the end ? Hope so !

Here it is for an introduction to my review. You will find hereafter my opinion concerning each song.

Let me know what you think about it ! And if you are among the lucky ones not having seen the show yet, enjoy it when it comes !

Géraldine

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I didn’t like very much the 2 first parts. The images projected on the different screens were too rapid and violent, as for me. They are mostly realized with synthesized images so that the atmosphere created, from my point of view was too « numerical » and lacked of « humanity ». And I found that the show for these two first parts went too quickly: intro not developed enough and no conclusion but debut of the next song without intro.
I felt ill at ease during some songs of these first parts : the video montage or the play of Madonna on stage consisting of something that made me think of a kind of “auto-destruction” of herself or her images from the past.

1rst part
Intro/Candy Shop – quite the same orchestration as the album
Beat Goes On – idem
Human Nature – video montage too violent and oppressive as for me.
Vogue – strange lyrics, mixed order. I got lost !


2nd part Video Interlude- Die Another Day – video montage too violent, Madonna fighting an invisible opponent and losing the battle, being smashed on the floor, etc…

Into The Groove - different orchestration worse than the original one, as for me. Very disappointing


Heartbeat – quite the same as the album
Borderline – nothing to do with the original, but not that bad
She’s Not Me – scene game original, but not sure to have understood the role of Madonna : she seems to want to destroy images that were hers in her past
Music – I was not convinced either by this orchestration.

I preferred without any doubt the two last parts, and the public too : the public began to wake up with the beginning of the third part. Was he, like me, upset by the violence and the speed of the two first parts, or fed up by the video technical problems (no images on the screens by intermittence, that could last inconstantly…). How knowing?


3rd part Video Interlude - Rain/Here Comes The Rain Again
Devil Wouldn’t Recognize You­­ – impressive by the “weight” it gave to the atmosphere suddenly, very well interpreted
Spanish Lesson – Joy comes back on stage and Madonna (during the show of Nice) began to feel free to involve herself in her show, and control things back. Before that part, she seemed a little bit to move mechanically and sing not always in the tone.
Miles Away – quite the same orchestration as the album, and no luck for Madonna, the public seemed not to follow her during that song : it was hard for her to make us understand to clap in our hands. Strange atmosphere really, as if there was a gap between her and her fans. Was it due to the fact that it was her first date in a non English speaking country? I don’t know !
La Isla Bonita/Lela Pala Tute – very good orchestration. Special heat from the “public niçois”
Doli Doli (Live interlude - Romanian folk song) very good interlude that allowed Madonna to rest a little. She swallowed two red tubes of something, but what ? Probably something to recover full energy for the last part
You Must Love Me – Excellent too, very emotive interpretation from Madonna and tremolo voice. Rare





Video Interlude - Get Stupid (About saving the planet) – Mixing provocation and politics. No way to ignore who she’s gonna vote for, after that ! But I liked the message, clear, even though very Manichean and sometimes limit “trashy” in the images.



4 Minutes – same orchestration as demo private concerts, without Justin…
Like A Prayer – The best orchestration of the show, as for me… and experimenting it under the sky made me feel special, really.



Ray Of Light – shaded by the light and energy spread by “like a prayer”, but keeps you in the same mood
Hung Up – no comment ! a technical problem with the guitar made Madonna sing a tone lower or something like that. Awful thus, till someone gave her a new guitar, but the song was wasted… another risk of the live
Give It To Me (Finale)­­ – Madonna tried to dialog and sing with the public, but I couldn’t hear him sing much. The video montage involves you into an electronic game party, inviting you to insert coins and Madonna suddenly disappear while the montage shows a “game over” ! Too late, Now you’ve got to take your feet and get back home by foot ! Not so delighting!

mercredi 20 août 2008

get into the groove !


Découvrez Madonna!


Are you ready? The tour begins tomorrow night in Cardiff. Enjoy.... As for me, it'll be on next tuesday in Nice. I can't no longer wait !

samedi 2 août 2008

Revenge : an hymn to forgiveness

OK, I'm sorry, I guess you're going to have posts from myelf dealing with M discovery subject for a few weeks. I apologize toward those who don't share the same taste for Madonna as me.

I'm listening quite a lot to the "Queen of Pop" nowadays and roaming on YouTube I found an unrealeased demo that I'd like to share with you : Revenge. First of all because I like the music a lot but also because I checked the lyrics on this site and those lyrics sound so true that I wanted to share them with you. Read them beneath the video and tell me what they inspire you. Listening to this beautiful song, I was thinking back of all the gossip about her nowadays. This could be a response to them, a response full of poetry and wisdom.

Enjoy !

Géraldine

Revenge
(unreleased demo)
written by Madonna and Rick Nowels
Time: 3:40
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There is no such thing as revenge
You will not give as good as you got
There is no such thing as an eye for an eye
If you think you're the giver, you're not

There is no such thing as regret
There is no point in placing the blame
Hate destroys the one who hates
And everyone suffers the same

Chorus:

What you see
Is not necessarily what you get
Eyes are the window to the soul
Take your judgments
And let them go

There is only love and respect
To thine own self be true
When you point the finger
There are three fingers pointing back at you

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go

Recognize that God is alive in everyone
Recognize that love lives in us all

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go

jeudi 31 juillet 2008

Are you ready ?

Time is waiting... And we only gotta wait for 4 weeks to see her on stage (in Nice-France) ! If you're fed up with all the gossips and paparazzi clichés taken from madonnna actually, just look at the making of of the clip of 4 minutes beneath. It's worth it !

OK ! And don't forget to get ready for the show. If, like me, you're not english native speaker and try desperatly to find the lyrics of the last opus of Madonna, just get there and rehearse hard !

Géraldine

lundi 26 mai 2008

I am because we are

I know you may be fed up with me talking too much of Madonna on that blog, since a few weeks. but that woman has some interesting messages to share. And I can't prevent myself from suggesting you to listen to that interview about her film I am because we are.

Here are a few words from Madonna, taken from this interview :

I often feel that we’re the one that have it wrong. In spite of all the devastation they have a sense of community and extended family that I haven’t seen anywhere else.

I don’t have that joy and I don’t have this kind of appreciation. I do in moments but not on a regular basis. I think that comes from really living in the moment without a lot of distractions, which we have so many of. And not knowing if the next day is going to come . I think complaining, feeling sorry for yourself, being bored, those are luxuries people in Malawi can’t afford.

J'ai souvent la sensation que nous n'avons rien compris. Malgré la dévastation, ils ont le sens de la communaité et de la famille étendue, comme je ne l'ai vu nul part ailleurs.
Je n'ai pas cette joie et cette manière d'apprécier les choses. Enfin, si parfois, mais pas de manière naturelle. Je pense que cela vient vraiment du fait qu'ils vivent sans beaucoup de distractions, contrairement à nous qui en avons tant. Et ne pas savoir si demain viendra. Je pense que se plaindre, se sentir désolée pour soi-même, être las, ce sont des luxes que les gens du Malawi ne peuvent pas s'offrir.

Well, it makes me think back of all the sadness we see on people's faces in the streets or in cars. This morning, when I took up my car to go to work, I saw a man next to me, sad and irritated because there was a small jam. On his car, on could see "Je roule au naturel" (I drive green), and I added to myself "ben ouais, mais t'es pas détendu" (for sure, but you'd better be more cool with life).

What Madonna says is true and could be summed up this way :"the more we get, the less you are". When will we understand, that more important than all the technical stuff proposed every where in our countries, is the ability to smile to someone you cross in the street, to try to drive or behave with respect to one another?

OK, I'm not gonna tell you I'm a saint. I'm not. I sometimes get mad when people lack of repsect for myself. And it's only because I'm so much fed up with living with those strange people environning me and behavoring as if we were not alike. What does brotherhood mean in our world? If you got a problem, people try to f*** you more as those awful birds flying around corpses. Couldn't we change and try to be more human ?

OK, enough for today. But think about what Madonna said. If we paid more attention ot one another, we probably would feel less alone and depressed.

Enjoy the rest of the day. Here, in the south of France, bad weather, between wind and rain !

Géraldine

mercredi 7 mai 2008

Pay attention, please !

Ouh ! Sounds like Madonna will never change... Time is still to "more, more, more". As for us, the more we work, the less we earn... What can we do against the matter of fact !

Well, have a good time cleaning your house, personnally I'll do that F****** work tomorrow.

bon "viaduc" à toutes et tous !

Géraldine

mardi 6 mai 2008

les planches brûleront-elles à l'Olympia ce soir ?

Ce soir, celle qui se fait appeler la "Reine de la Pop" est censée enflammer les planches de l'Olympia, pour un concert privé, nouveau concept pour créer du "buzz" autour de son nouvel album. J'ai cherché en vain l'heure de ce concert qui doit être retransmis en direct sur NRJParis, et j'ai fini par tomber sur des videos d'une prestation analogue donnée il y a quelques jours aux US.

Et finalement, j'arrête de chercher cette fichue heure du concert. Trop déçue par la prestation américaine. L'interprétation de "4 minutes" est affligeante : plus de voix, sinon les graves d'une fumeuse de longue date, plus de souffle, parfois des fausses notes... Honnètement, pensez-vous que Madonna aurait ses chances de rentrer dans la prochaine promo de la Star'Ac? Et bien, je fais le pari que non... Pari frilleux me direz-vous, la situation est impossible à reproduire. La célébrité est une forme de pouvoir sans conteste, car les fans de "Madame la Bourgeoise" comme elle se fait appeler outre manche ont pris hier le train, l'avion, le bus ou le vélo pour se faire une petite nuit à la belle étoile dans la capitale afin d'être les 500 premiers arrivés pour gagner une place au fameux "show case" de ce soir. Et oui, le "fan", abrévation de "fanatique" est réduit en esclavage par la vieille demoiselle. A propos d'âge, vous êtes vous demandé pourquoi Madonna porte désormais des gants dans ses shows ? Je paris (là c'est moins frileux!) que c'est pour en cacher les rides qui ne réussissent malheureusement pas à faire illusion quant à l'âge de la chanteuse... Ah, à quand un magicien de la chirurgie plastique qui réussira à rendre aux femmes leurs mains de 20 ans?

Allez, assez discuté. Comme vous l'aurez compris, feu la fan que je fus. Madonna prend le mauvais virage et ses lunettes fumées risquent de l'emêcher d'appréhender le mur suffisamment tôt. la version "real" du clip de "What it feels like for a girl" pourrait être un peu plus brutale...

Belle journée !

Si vous voulez écouter les vidéos ci-dessous, n'oubliez pas de couper le son du "grand corps malade", le mélange est assez peu harmonieux !


Ci-dessus l'interprétation durant le live américan de "Miles away". Ca se laisse entendre...

En contraste, l'interprétation de "4 minutes"... Ne l'écoutez pas en entier, ou vous risquez de ne pas revenir sur mon blog !

vendredi 25 avril 2008

RTL peu flatteur pour le dernier album de Madonna

RTL a consacré une partie de son émission "Laissez-vous tenter" de ce matin à la présentation du dernier album de Madonna. Et une présentation qui pose question à propos du dernier opus de la "Queen of Pop"... La cinquantaine serait-elle la décennie du déclin, ou rebondira-t-elle, comme elle a toujours su le faire?... Les paris sont ouverts !

Belle journée !

Géraldine

vendredi 4 avril 2008

4 minutes for what?















I just found on the Internet a link to discover the clip of the last single of Madonna : 4 minutes to save the world.

Well, I'm disappointed by it. I heard the song on FG radio a few days ago and now the clip... Well, lack of sense, hyper-commercial, Madonna looking as a 20 years old girl!?! she's taking the wrong direction, in my opinion, once more...


Here it is for today : If you want to have a look at it : it's here !

enjoy the evening !

Géraldine

mercredi 24 octobre 2007

Promise to try


Little girl don't you forget her face
Laughing away your tears
When she was the one who felt all the pain

Little girl never forget her eyes
Keep them alive inside
I promise to try -- it's not the same

Keep your head held high -- ride like the wind
Never look behind, life isn't fair
That's what you said, so I try not to care

Little girl don't run away so fast
I think you forgot to kiss -- kiss her goodbye

Will she see me cry when I stumble and fall
Does she hear my voice in the night when I call
Wipe away all your tears, it's gonna be all right

I fought to be so strong, I guess you knew
I was afraid you'd go away, too

Little girl you've got to forget the past
And learn to forgive me
I promise to try -- but it feels like a lie

Don't let memory play games with your mind
She's a faded smile frozen in time
I'm still hanging on -- but I'm doing it wrong
Can't kiss her goodbye -- but I promise to try


Louise Veronica CICCONE lost her mum at the age of five. That's what this song is about. Did you know that girl? Did you know how expressive she could be ? Did you know that "Madonna"? Lots of people judge that woman for what she's done. And what? She did some things that are suprising and shocking even. But at least she tried something...She confesses indeed she's doing it wrong in that song. Some people judging her have never tried nothing...
God bless her.