Invitation Au Dialogue
jeudi 19 janvier 2012
Shame... on Whom
dimanche 25 décembre 2011
Intouchables...un film qui touche !
lundi 12 décembre 2011
Quid de la dette publique ?
La Dette publique pour les Nuls par Bonzou
jeudi 25 août 2011
A new start
And life can be so rich
But if you never dispair
Keeping hoping beyond what’s unfair
Fighting for your life to give it a sense
You’ll be rewarded after being tensed
This is the moment my dears
Releaved from all my fears
I can at least be here in the right place
Keeping up the race
Enjoying friendship sincerely
Testing freedom truely
Far away from your cruelty
I’m gonna go for it now
Again and again til I’m bound to bow
Géraldine
jeudi 22 avril 2010
Mardi 4 mai 2010 – Arte – Thema "Crimes d'inceste"
Vous trouverez ci-après le programme d'une émission qui ouvrira probalbement à des réflexions.
70 % des agressions sexuelles au sein même de la famille et deux millions de victimes d’inceste recensées en France d’après les dernières études…
Alors que l’inceste vient d’être inscrit dans le code pénal après un long débat parlementaire, ARTE consacre une soirée spéciale à ce poison qui touche l’ensemble de la famille.
Deux documentaires inédits avec les témoignages poignants de victimes mais aussi d’abuseurs :
> 20.35 : Inceste : familles empoisonnées
de Juliette Armanet et Fabrice Gardel (ARTE France, DOC EN STOCK - 52’)
Ils sont sept. Homme, femmes, mère, jeunes filles, de tous milieux, ils ont entre 23 et 60 ans…
Tous se livrent à visage découvert, avec franchise, avec courage. Chacun raconte son histoire, ses émotions et ses souvenirs. Chaque histoire est unique, mais à sa façon universelle, car chacun raconte les silences, le sentiment de culpabilité bien qu’on soit victime, l’absence de repères, la lâcheté de toute une famille, le rôle terrible de la mère, le déni. L’impression d’être seuls au monde alors que les épreuves traversées sont semblables. Le film met à jour ces mécanismes et montre que l’on ne peut comprendre l’inceste que si l’on considère toute la famille.
> 21.25 : Coupable d’inceste
de Cyril de Turckheim et François Bordes (ARTE France, DOC EN STOCK - 26’)
Cyril de Turckheim et François Bordes dressent les portraits psychologiques de ces hommes qui ont un jour franchi la ligne rouge en abusant leur fille, leur soeur ou leur petite fille… Construit à partir de témoignages, le film est éclairé par des entretiens avec plusieurs experts de renom qui identifient trois catégories d’incestueux : les « névrosés immatures », les « intellectuels pervers » et les « prédateurs sadiques »… Une typologie non figée qui propose une grille de repères.
Suivi d’un débat animé par Daniel Leconte. (DVD disponibles)
Contact presse
Cécile Braun : c-braun@artefrance.fr
01 55 00 72 90
Je vous livre aussi des références très intéressantes d'une victime résiliente qui témoigne :
Pour préparer notre discussion sur cette émission (celle du 4 mai à venir), je voudrais vous présenter mes blogs :
celui de l’auteure obligatoirement anonyme qui n’a pas eu le droit de parler – ce qu’elle disait était inaudible en 1986 – mais qui milite depuis.
J’ai écrit un livre : Viols par inceste , en 1993.
J’ai dévoilé mon secret à mon compagnon allemand qui m’a plaquée lorsque je me suis mise à militer.
http://viols-par-inceste.blogspot.com/
Le second site est un blog documentaire qui rassemble toutes mes lectures sur
l’autofiction, l’inceste et la résilience – AIR
pour étayer un livre que je suis en train d’écrire : Interdits ordinaires.
Mon histoire de cinq ans avec ce monsieur allemand.
http://resilience-autofiction.over-...
Un extrait d’ Interdits ordinaires :
« Toute seule, elle ne pouvait se sortir du chantage. Claude se souvenait du dernier viol. Tout avait commencé par un petit matin prometteur sur le port du Havre. Elle était partie avec son père pour aller ramasser les tendelets pleins d’écrevisses. Au Havre, c’est là que SARTRE avait écrit La Nausée. Sur le chemin, elle avait réussi à dire à son père qu’elle reviendrait moins souvent parce que Bertrand était entré dans sa vie. Il avait ralenti, ses mains tremblaient sur le volant. Il avait arrêté la voiture au milieu de centaines de conteneurs. Au rythme de son halètement, il avait rabattu le siège du passager et s’était glissé entre ses cuisses en la tenant plaquée allongée d’un bras gauche métallique. Il n’avait pas son regard laineux, ses yeux étaient plus de peur et elle avait pu les fixer. « Je n’y arrive pas ! » avait dit son père et elle riait pendant qu’il pleurait.
Elle s’était dédoublée, debout à côté d’elle-même, mais pas très loin cette fois. Ensuite, elle observait cette scène d’un homme coincée sous le tableau de bord de la voiture et elle qui le toisait. Son autre moi avait pu se dégager pour se caler dans le fond de la banquette arrière les genoux repliés sous son menton. C’était fini.
Elle était descendu de la voiture et avait tendu l’oreille. Son propre hurlement de rire qui roulait en écho métallique sur les conteneurs. L’air du large lui fouettait le sang. Elle venait d’avoir vingt-quatre ans et émergeait de quinze ans d’anesthésie. »
lundi 5 avril 2010
une jolie histoire pour aborder la vie...
Le dilemme de la jeune fille ne peut pas être résolu de façon équitable par la pensée logique traditionnelle.
Pensez aux conséquences de chacune des trois options possibles. Alors, qu'auriez-vous fait?
Bien voici ce que la jeune fille fit :
Elle piocha dans le sac et en sortit un caillou qu'elle fit tomber aussitôt par terre, gauchement, sans qu'on ait pu le voir, et il se confondit spontanément avec la multitude des autres cailloux sur le sol.
Ah! ce que je peux être maladroite, s'exclama la jeune fille. Mais qu'importe, si je sors du sac le caillou qui reste, on verra bien lequel j'avais pioché en premier!
Puisque le caillou restant était noir, le premier caillou pioché ne pouvait qu'être blanc. Et comme le vieux prêteur n'osa pas avouer sa malhonnêteté, la jeune fille transforma une situation qui semblait impossible en un dénouement fort avantageux.
La morale de cette histoire :
Il existe une solution pour la plupart des problèmes complexes. C'est juste qu'on ne sait pas toujours regarder les choses sous le bon angle.