jeudi 28 août 2008

Sticky and Sweet tour, show de Nice : ce que les médias en disent...

Voici quelques articles de presse à propos du fameux tour... Y'a des trucs bien la dedans !

bonne lecture,

Géraldine

Libération :
Madonna chère friandise
Pop. Avant ses deux concerts au Stade de France, la pimpante quinquagénaire a produit, mardi à Nice, un show pharaonique, millimétré et sans surprise mais qui fait recette.
Envoyé spécial à Nice Gilles renault
QUOTIDIEN : jeudi 28 août 2008
Madonna En concert au Stade de France, les 20 et 21 septembre.

Ce sont les places les plus chères qui sont parties les premières. Longtemps avant le show, plus aucun ticket à 188,50 euros ne circulait, tandis qu’on pouvait encore en trouver au prix de 62 euros. Cet ordre de grandeur produit un effet paradoxal : au marché noir, les revendeurs rament et finissent par consentir des ristournes à prix bradé.
Queen. A propos de grandeur, un autre aspect mérite d’être signalé : au stade Charles-Ehrmann de Nice, où Madonna donnait donc mardi le premier des trois concerts français de sa tournée mondiale, avant deux Stade de France dans un mois, les places les plus inabordables sont aussi les plus éloignées, tout au fond de l’enceinte, avec pour seule valeur ajoutée d’être assises. Si bien que lorsque la star paraît, juchée sur un trône conforme à l’idée qu’elle a de son rang, la Queen of Pop ressemble à un Playmobil débarqué sur une scène d’autant plus vide qu’on a pris soin de cantonner les musiciens sur les côtés.
La campagne 2008 de Madonna s’intitule Sticky and Sweet Tour. Les deux adjectifs ont une évidente connotation sensorielle, sinon sexuelle, alors que, du propos, émane à peu près constamment une humeur prophylactique. Comme toujours, dans ce type d’entreprise, on brandit des chiffre à effet pharaoniques : une scène télescopique de 50 mètres de long, 90 de large, 20 de haut, 600 roadies, 16 danseurs, 12 musiciens, une Rolls, huit costumes (Givenchy, Tom Ford, Miu Miu, Gucci, Stella McCartney…) et la diva qui avance tel un rouleau-compresseur montant de nouveau au front.
La tournée qui a commencé le week-end dernier à Cardiff et couvre 49 dates (Europe, Etats-Unis, Canada, Mexique), se présente sous un jour ambigu. On nous rappelle que Hard Candy, le nouvel album de Madonna, est ou a été n° 1 dans vingt-sept pays. Mais cette réalité masque des aspects moins implacables : qualitativement - et malgré les renforts carrossés de la scène rap et r’n’b -, le disque a été, de l’avis majoritaire, une déception ; au demeurant, ses chiffres de vente sont restés très en deçà des espérances.
Nique. Si Madonna roule encore aujourd’hui sur l’or, c’est à la scène qu’elle le doit (on estime ses gains à 200 millions de dollars sur la précédente tournée). Mais elle arrive à un âge (50 ans, le 16 août dernier) où, a fortiori dans les épreuves de vitesse, il faut veiller à ne pas disputer la course de trop. Or, le cas intrigue, au moins génétiquement parlant (la musique ayant cet avantage sur le sport que jamais le dopage n’est dépisté) : mamie Louise continue de faire la nique à celle qui, de Britney S. à Hanna M., incarnent ses élèves. Aujourd’hui, autant qu’hier, Madonna court, saute, bondit, rampe, parade dans une forme de nettoyage par le vide technologique où la débauche des décors d’antan le cède à des écrans qui, en fond de scène, déglutissent des vidéos, et, sur les côtés, détaillent ce qui se passe sur le plateau. Mais à cent mètres de distance, les écrans paraissent vraiment riquiqui, ne divulguant pas grand-chose de l’action. Au centre du show, l’équivoque règne avec une Madonna qui ripoline son fond de commerce SM jadis sulfureux et remet une couche sur ce poids des ans que son corps réfute : guêpière et bas résille, puis short rouge de pom-pom girl, démonstration de saut à la corde et lunette Lolita en forme de cœur. Dix-neuf chansons figurent à ce menu quasiment immuable. La moitié émanent du nouvel album, l’autre étant constituée de tubes souvent transfigurés (Into the Groove techno sur une animation Keith Haring) ou de rareté à côté de la plaque (un You Must Love Me intimiste exhumé de la BO d’Evita).
Gimmick. Une heure cinquante, sans rappel, et quatre parties. Au milieu, Madonna investit deux domaines où elle se révèle plus que balourde : le «rock», avec simili solos (Heartbeat, Borderline - justement) et la «world» (Spanish Lesson, Miles Away, la Isla Bonita revus à la sauce manouche, avec violon, guitare et faciès burinés jouant les utilités besogneuses). A l’inverse, cette absence de raffinement se commue en argument quand il s’agit d’envoyer la cavalerie dance, avec les duos filmés des Timbaland, Kanye West, Pharrell et Justin Timberlake du CD. «Tic tac tic tac…», gimmick efficace de 4 Minutes, le hit de Hard Candy, explose au moment d’ouvrir le dernier chapitre où Ray of Light précède dans un bombardement de lumières intergalactiques l’ultime Give It To Me… en flagrant délit de play-back.
A Nice, la rumeur fantasmait sur une visite de Barack Obama, au lieu de quoi ce furent Bono, Elton John et Laurent Gerra. Obama était quand même «présent» dans une de ces provocations dont Madonna, super pro de la com’, s’est fait une marque de fabrique : à vingt minutes de la fin, un montage d’images détaille sur les écrans une vision du monde simplette. D’un côté les méchants (bouh !) Hitler, des terroristes, Mugabé, John McCain («comparaisons scandaleuses, inacceptables et de nature à diviser», a déclaré le porte-parole de ce dernier, qui a mordu à l’hameçon), et de l’autre, les gentils, Lennon, Bono, Luther King, Michael Moore (!) et Obama donc.
Et puis, comme de coutume, ces photos culpabilisantes d’enfants africains à l’agonie, le ventre gonflé par la faim, au centre d’une scène encadrée par deux gigantesques M éclairés comme des diamants.

Madonna souffle le show et le froid
Olivier Nuc 27/08/2008

Madonna, qui vient de fêter ses 50 ans, a réalisé une véritable performance physique au stade Charles­-Ehrmann de Nice, où elle ne s'était pas pro­duite depuis 1990. Crédits photo : AP
À Nice, première halte française de sa tournée «Sticky and Sweet», la star offre un show où le mauvais goût côtoie des moments glorieux.

Il arpente la tribune de long en large, agitant une petite banderole sur laquelle est écrit, en anglais : «Joyeux anniversaire Madonna, arrête de m'appeler, s'il te plaît.» Manière amusante pour ce fan de signaler que la star, qui chante sous ses yeux, vient de célébrer ses cinquante ans. Elton John et Bono ont eux aussi fait le déplacement pour souffler les bougies en sa compagnie, mais elle n'aurait pas daigné les recevoir dans sa loge.
Pour la deuxième date de son Sticky and Sweet Tour, après ­Cardiff le 23 août, Madonna retrouvait le stade Charles­Ehrmann de Nice, où elle ne s'était pas pro­duite depuis 1990. Alors que la diva a été chahutée tout l'été par une presse people la soupçonnant d'avoir une liaison avec un joueur de base-ball, que son mariage semble sérieusement battre de l'aile et que son frère publie une biographie en forme de règlement de comptes, l'enjeu de cette tournée est colossal. De même que les moyens mis à disposition par Live Nation, le géant américain de l'industrie du spectacle qui contrôle désormais toutes les étapes de sa carrière, de l'enregistrement de ses albums aux tournées en passant par les droits dérivés : 250 employés, 653 heures de répétition, 28 musiciens et danseurs. De quoi composer un show mémorable ? Pas sûr.
Flanquée de deux M géants, la scène s'illumine pour accueillir Madonna sur son trône, en guê­pière, bottes et bas-résille. La revue façon Broadway se décline autour de quatre tableaux, tandis que le répertoire privilégie Hard Candy, dernier album en date, aux chiffres de vente décevants. Après une première partie assez poussive autour de l'esthétique gangsters des années 1920 (Rolls-Royce, rappeur en costume blanc), le spectacle trouve sa vitesse de croisière passée la première demi-heure seulement.
Vingt-cinq années de carrière
C'est sur les titres où elle joue de la guitare électrique (en mitaines) que Madonna s'incarne réellement face au public. L'évocation du New York des années disco lui offre l'occasion de revenir à la source de sa musique. Elle interprète même très faux Border­line, un de ses premiers succès. Une vidéo retraçant ses vingt-cinq années de carrière permet de vérifier que la star a passé son temps à se réinventer. Cette concession à la nostalgie sonne aujourd'hui moins comme un clin d'œil qu'une course désespérée après les bons souvenirs. Sur She's Not Me, Madonna entend rectifier le tir en terrassant des figurants représentant quatre de ses différentes incarnations. Paradoxalement, c'est à ce moment précis qu'elle apparaît la plus fragile et la plus touchante.
Un festif Music plus tard, ces états d'âme sont balayés par la séquence la plus hasardeuse du show. Flanquée d'un groupe de Gitans, Madonna verse alors dans une esthétique (alter ?)mondia­liste aussi révolutionnaire qu'une publicité Benetton du début des années 1990. Noyée sous les espagnolades et les bons sentiments, outrageusement accélérée, La Isla Bonita ne s'en remettra pas. En revanche, la magie opère à plein avec une chanson tirée de la ­bande-son du film Evita, dans un registre totalement acoustique.
Le dernier volet du spectacle s'ouvre sur une vidéo dans ­laquelle les figures du mal (Hitler, Khomeyni, Mugabe et… John McCain) sont opposées aux héros du bien (Al Gore, Ghandi, Lennon, Luther King, Angela Davis, Bill Clinton et… Obama, à deux reprises) sur fond de défense de la planète. Simon Wiesenthal et l'entourage du candidat républicain ont déjà pris la peine de dénoncer l'amalgame. En mettant dos à dos bons et méchants de façon aussi manichéenne, Madonna commet là une belle faute de goût.
Enchaînée efficacement, la cohorte de tubes finale (4 Minutes, Like A Prayer, Ray of Light, Hung Up) prouve que la quinquagénaire aux dizaines de millions de disques écoulés continue à planer au-dessus de la concurrence. Pourtant, par son manque de cohérence, ce spectacle ouvre de nombreuses interrogations sur son avenir artistique. Va-t-elle continuer à miser sur la performance physique et à jouer l'escalade ou développer un répertoire plus introspectif comme elle le laisse entrevoir par intermittence ?

Le Monde :
Madonna chante, danse et dérape
LE MONDE 27.08.08 16h56 • Mis à jour le 28.08.08 09h16
Nice Envoyé spécial

Il est 22 h 37, mardi 26 août, lorsque débute le troisième intermède vidéo du spectacle de Madonna au Parc des sports Charles-Ehrmann, à Nice. Le spectacle dure depuis environ une heure vingt. La chanson Get Stupid sert d'accompagnement à un déferlement d'images d'actualités.
Deux ou trois secondes par plan. Un avion qui décolle, un gros plan sur un thermomètre, une vue de la Terre depuis l'espace... puis une succession de méchants, Hitler, de dos, haranguant la foule, l'ayatollah Khomeiny, le président du Zimbabwe Robert Mugabe, le président de la Corée du Nord Kim Jong-il... et John McCain, candidat républicain à l'élection présidentielle américaine. Des images de guerre, de famine. Voilà les gentils, Gandhi, Nelson Mandela, Luther King, Lennon, Bono, Angela Davis (sic), Michael Moore (re- sic), J.-F. Kennedy... Une dernière note, une dernière image, Barack Obama, candidat démocrate à l'élection présidentielle.
Présenté lors du premier concert de la partie européenne du "Sticky and Sweet Tour" (collant et sucré), à Cardiff (Pays de Galles), samedi 23 août, ce clip qui met dans le même camp des dictateurs sanglants et John McCain a été suivi, le 24 août, d'une déclaration de l'équipe de campagne du candidat jugeant que ces "comparaisons sont tout à la fois scandaleuses, inacceptables et de nature à diviser" (Le Monde du 25 août).
Les organisations juives américaines Anti-Diffamation League et Simon Wiesenthal Center ont aussi dénoncé le procédé, le centre Wiesenthal y voyant une "insulte pour tous les Américains, démocrates autant que républicains".
C'est donc un propos politique au ras des pâquerettes qui va devenir l'élément provocateur que tout show de la chanteuse américaine se doit d'avoir. Passé le "scandale de Cardiff", l'insertion de M. McCain dans le clip, si elle est maintenue, pourrait trouver son plein impact lorsque la tournée arrivera aux Etats-Unis, à partir du 4 octobre, en pleine campagne électorale. Le show Madonna sera à San Diego (Californie) le 4 novembre, le jour de l'élection aux Etats-Unis. Aucun commentaire de l'entourage de Madonna à propos de la réaction de l'équipe McCain - et le silence de celle de M. Obama - et le maintien ou pas des images n'a accompagné le concert niçois.
Tant qu'à provoquer, Madonna était plus rigolote et parfois pertinente quand, autrefois, elle se tripotait la foufoune, roulait des gamelles à ses copines ou mimait les rites sado-maso. Dans le même ordre d'idées, elle aurait pu pour cette tournée se présenter en bourgeoise de 50 ans - Madonna les a eus le 16 août - recevant un plombier à la maison, qui ni une ni deux la renverse sur la table de la cuisine dans la plus gauloise des traditions du cinéma X.
Las, Madonna fait de la politique et délaisse les friandises affriolantes, à part un rapide baiser sur la bouche d'une danseuse (approbation dans les rangs du public), quelques coups de rein, un frotti-frotta sur une barre.
MOINS DE FANTAISIE
En revanche, Madonna fait beaucoup de sport. Saut à la corde, arpentage régulier de la scène, numéros chorégraphiques genre bonds du kangourou, combats de boxe... le tout accompagné de techno-pop-dance-rock joué par un groupe quasi invisible mais à fort volume. Sur les écrans, c'est une débauche de couleurs. Mais ça patine quelque peu, le son sature régulièrement, noyant la voix de la chanteuse - jamais essoufflée, magie d'un possible play-black ? - et les écrans qui n'affichent rien à plusieurs reprises.
Au répertoire de sa tournée 2008, Madonna a mis une vingtaine de chansons, dont neuf de son dernier album en date, Hard Candy. Ce qui est beaucoup pour un disque assez faiblard (Le Monde du 29 avril), mais ne manque pas de culot de la part de la chanteuse. L'ensemble, qui puise par ailleurs dans les succès d'un peu toutes les époques, a perdu la fantaisie des années 1980, recycle du déjà-vu mais bénéficie toujours de numéros efficaces.
Sortent du lot Into the Groove (1984), avec projections d'animations de dessins très colorés, très pop, de Keith Haring (1958-1990) ; She's Not Me, tiré de Hard Candy, où Madonna, dans un jeu de dénigrement habile, est en vidéo dans toutes ses incarnations depuis vingt-cinq ans tandis qu'elle donne, sur scène, une correction à ses anciennes Madonna personnalisées par des danseuses costumées ; La Isla Bonita, dont la couleur espagnole d'origine en 1986 vire à la fête gitane avec charrette renversée et violon rom ; Like a Prayer, de 1989, devenu scandaleux par un clip montrant la chanteuse attirée par un Christ noir.
Cette fois, les écrans sont couverts de phrases bibliques et de signes religieux qui ne risquent d'offenser que les athées, et Like a Prayer s'élance dans un gospel techno convaincant. Sinon, Madonna confirme sa passion récente pour la guitare. Elle a le bon goût de ne pas ériger l'instrument en symbole phallique, mais simplement de le maltraiter.

Sylvain Siclier

mercredi 27 août 2008

Madonna - Sticky and Sweet tour review of the show of Nice, South of France



So, I was ready... for the show, yesterday night ! I hadn't seen "la Madone" since the Girlie show. "Un bail" as we say in french ! I must say I have been disappointed. Several reasons to this deception : first of all, it seems that this is the first time that the stage was built up in such a short time, and as Madonna says "if it's bitter at the start, then it's sweeter in the end". I mean, we’ve had too many technical problems : video shutting off or being interrupted during the show, sounds problems : unclear voice of Madonna due to micro setting obviously and not in tone “Hung up” due to a problem of guitar and sound feed back ? It was thus “bitter” for us, but I hope it’ll be sweeter, before the end of the tour, for Madonna and her fans.

I’ve been worried nevertheless for Madonna being injured on the right thigh and wearing a 10or 15 cm bandage. Hope it is not serious and won’t prevent her from going on and on. Another thing surprised me : after a few songs, she said (and she obviously was not playing a game”) :”Jesus, I’m feeling tired”, by hanging on one of her dancers. So what ? Is she gonna get it right til the end ? Hope so !

Here it is for an introduction to my review. You will find hereafter my opinion concerning each song.

Let me know what you think about it ! And if you are among the lucky ones not having seen the show yet, enjoy it when it comes !

Géraldine

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I didn’t like very much the 2 first parts. The images projected on the different screens were too rapid and violent, as for me. They are mostly realized with synthesized images so that the atmosphere created, from my point of view was too « numerical » and lacked of « humanity ». And I found that the show for these two first parts went too quickly: intro not developed enough and no conclusion but debut of the next song without intro.
I felt ill at ease during some songs of these first parts : the video montage or the play of Madonna on stage consisting of something that made me think of a kind of “auto-destruction” of herself or her images from the past.

1rst part
Intro/Candy Shop – quite the same orchestration as the album
Beat Goes On – idem
Human Nature – video montage too violent and oppressive as for me.
Vogue – strange lyrics, mixed order. I got lost !


2nd part Video Interlude- Die Another Day – video montage too violent, Madonna fighting an invisible opponent and losing the battle, being smashed on the floor, etc…

Into The Groove - different orchestration worse than the original one, as for me. Very disappointing


Heartbeat – quite the same as the album
Borderline – nothing to do with the original, but not that bad
She’s Not Me – scene game original, but not sure to have understood the role of Madonna : she seems to want to destroy images that were hers in her past
Music – I was not convinced either by this orchestration.

I preferred without any doubt the two last parts, and the public too : the public began to wake up with the beginning of the third part. Was he, like me, upset by the violence and the speed of the two first parts, or fed up by the video technical problems (no images on the screens by intermittence, that could last inconstantly…). How knowing?


3rd part Video Interlude - Rain/Here Comes The Rain Again
Devil Wouldn’t Recognize You­­ – impressive by the “weight” it gave to the atmosphere suddenly, very well interpreted
Spanish Lesson – Joy comes back on stage and Madonna (during the show of Nice) began to feel free to involve herself in her show, and control things back. Before that part, she seemed a little bit to move mechanically and sing not always in the tone.
Miles Away – quite the same orchestration as the album, and no luck for Madonna, the public seemed not to follow her during that song : it was hard for her to make us understand to clap in our hands. Strange atmosphere really, as if there was a gap between her and her fans. Was it due to the fact that it was her first date in a non English speaking country? I don’t know !
La Isla Bonita/Lela Pala Tute – very good orchestration. Special heat from the “public niçois”
Doli Doli (Live interlude - Romanian folk song) very good interlude that allowed Madonna to rest a little. She swallowed two red tubes of something, but what ? Probably something to recover full energy for the last part
You Must Love Me – Excellent too, very emotive interpretation from Madonna and tremolo voice. Rare





Video Interlude - Get Stupid (About saving the planet) – Mixing provocation and politics. No way to ignore who she’s gonna vote for, after that ! But I liked the message, clear, even though very Manichean and sometimes limit “trashy” in the images.



4 Minutes – same orchestration as demo private concerts, without Justin…
Like A Prayer – The best orchestration of the show, as for me… and experimenting it under the sky made me feel special, really.



Ray Of Light – shaded by the light and energy spread by “like a prayer”, but keeps you in the same mood
Hung Up – no comment ! a technical problem with the guitar made Madonna sing a tone lower or something like that. Awful thus, till someone gave her a new guitar, but the song was wasted… another risk of the live
Give It To Me (Finale)­­ – Madonna tried to dialog and sing with the public, but I couldn’t hear him sing much. The video montage involves you into an electronic game party, inviting you to insert coins and Madonna suddenly disappear while the montage shows a “game over” ! Too late, Now you’ve got to take your feet and get back home by foot ! Not so delighting!

mercredi 20 août 2008

get into the groove !


Découvrez Madonna!


Are you ready? The tour begins tomorrow night in Cardiff. Enjoy.... As for me, it'll be on next tuesday in Nice. I can't no longer wait !

lundi 18 août 2008

Une île de toute beauté

amis vacanciers, ne soyez pas tristes, bon d'accord, l'été est "un peu" avancé, mais il nous reste les souvenirs et quels souvenirs !

vous trouverez ci-après un petit aperçu de mon second périple de l'été : La Corse. Une île qui porte bien son nom, vraiment !


Belle journée !

Géraldine

lundi 4 août 2008

Une nouvelle espèce de dauphin (moche)

Paru aujourd'hui dans Libé.fr. Amis des bêtes, ne vous offusquez pas trop, c'est une pensée légère... Mais si, on les aime bien aussi les dauphins moches, la preuve, j'en parle sur le blog !

Allez, belle soirée !

Géraldine

Des chercheurs affirment avoir identifié une nouvelle espèce de dauphin au large de l’Australie. Avec sa tête en gant de boxe, la bête n’est pas très séduisante. Une vidéo de notre partenaire Zoom.in

Le sud comme on l'aime !

amis parisiens et d'autres contrées tempérées, bonjour ! Malheur à vous si vous avez eu l'idée de venir passer votre séjour d'été dans notre Provence ensoleilée, car non seulement vous avez eu à supporter des heures de bouchon le jour de votre arrivée et vous devez vous coltiner maintenant avec une Provence toute polluée !


En effet, voici le deuxième jour que nous sommes en alerte "orange" de canicule. Ce que ça veut dire, je ne sais pas trop, mais ce que je sais, c'est que cette fichue chaleur empêche de dormir et donne migraines et nausées. Pire, elle vous met dans un état de "loque" à peine levé ! Hier matin, je me suis levée et ai parcouru quelques mètres, tranquillement (comme au lever un dimanche quoi !), pour rejoindre ma douche. Eh bien, vous me croirez si vous voulez, ce petit effort a suffi à me faire transpirer ! Non, vraiment, la Provence actuellement, ça fait suer ! Je file en Corse !
Géraldine


Un petit article de Libé pour corroborer ce post léger :
Alerte orange à la canicule maintenue pour le 2e jour dans les Bouches-du-Rhône
LIBERATION.FR : lundi 4 août 2008
Des vacanciers sur le plage de Cavaou à Fos-sur-Mer dans les Bouches-du-Rhône (Photo AFP)
L'alerte lancée par Météo France dans le département du sud de la France est maintenue jusqu'à mardi matin. Une occasion de rappeler les gestes qui sauvent.


Météo-France maintient pour la journée d'aujourd'hui une alerte à la canicule de niveau "orange" (niveau trois sur quatre) dans le département des Bouches-du-Rhône, jusqu'à demain matin 6h00.
Les températures qui devraient se situer entre 17 à 20°C le matin et 32 à 35°C dans la journée seront cependant «loin des records» déjà enregistrés les années précédentes dans la région. «Elles devraient persister dans les prochains jours et la chaleur pourra parfois être pénible à supporter», a précisé Météo France.
Les personnes âgées, les enfants et les sportifs sont davantage exposés aux risques de déshydratation. Le département des Bouches-du-Rhônes en a profité pour rappeler certaines consignes à respecter durant cette période. Celles-ci sont disponibles sur le site du
Ministère de la Santé. En voici quelques unes:
— passer au moins 3 heures par jour dans un endroit frais (supermarché, cinéma, lieux publics...) — se rafraîchir et se mouiller le corps plusieurs fois par jour (douche, brumisateur...)
— boire fréquemment et abondamment même sans avoir la sensation de soif ( 1,5 litres par jour minimum)

— éviter de sortir aux heures les plus chaudes (11h à 18h) et maintenir sa maison fraîche en fermant les volets et les fenêtres et en baissant les lumières électriques.

La Préfecture des Bouches-du Rhône évoque aussi l'importance de la solidarité. Il est important d'aider les personnes de son entourage non autonomes ou invalides. De même, il ne faut pas hésiter à réclamer de l'aide. En cas d'urgence il reste les numéros du SAMU (15), des pompiers (18) et un numéro spécial européen (112).

samedi 2 août 2008

Revenge : an hymn to forgiveness

OK, I'm sorry, I guess you're going to have posts from myelf dealing with M discovery subject for a few weeks. I apologize toward those who don't share the same taste for Madonna as me.

I'm listening quite a lot to the "Queen of Pop" nowadays and roaming on YouTube I found an unrealeased demo that I'd like to share with you : Revenge. First of all because I like the music a lot but also because I checked the lyrics on this site and those lyrics sound so true that I wanted to share them with you. Read them beneath the video and tell me what they inspire you. Listening to this beautiful song, I was thinking back of all the gossip about her nowadays. This could be a response to them, a response full of poetry and wisdom.

Enjoy !

Géraldine

Revenge
(unreleased demo)
written by Madonna and Rick Nowels
Time: 3:40
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There is no such thing as revenge
You will not give as good as you got
There is no such thing as an eye for an eye
If you think you're the giver, you're not

There is no such thing as regret
There is no point in placing the blame
Hate destroys the one who hates
And everyone suffers the same

Chorus:

What you see
Is not necessarily what you get
Eyes are the window to the soul
Take your judgments
And let them go

There is only love and respect
To thine own self be true
When you point the finger
There are three fingers pointing back at you

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go

Recognize that God is alive in everyone
Recognize that love lives in us all

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go

(chorus)

Let them go
Let them go
Let them go