jeudi 24 janvier 2008

Virtuel, mon amour


C'est le dernier ouvrage du psychiatre-psychanalyste-sociologue Serge Tisseron "virtuel mon amour" qui m'a inspiré aujourd'hui. Je n'ai pas encore eu l'opportunité de lire cet ouvrage, mais pour avoir lu d'autres ouvrages, je sais qu'il est pertinent Tisseron.

C'est curieux d'avoir l'info de ce livre ce matin, car hier soir, j'étais devant mon ordinateur et tout à coup j'ai eu envie de le balancer par la fenêtre. Ras le bol de cette communication par "bit" interposé, ras le bol de ces contacts à distance. J'étais en effet en train de chercher un forum de psycho sur le site de l'IED, organisme de formation à distance, dont je fais partie. Et j'ai accédé, presque par hasard, à mon "profil". Cette situation m'a fait repenser aux joies de Facebook. Que faire? Je me suis contentée d'y enregistrer ma photo, mais pas un mot de plus. Je ne connais presque aucun étudiant. Je n'ai donc pas envie de me livrer. Et puis qu'est-ce que c'est que cette communication à l'envers? Dans la communication réelle, ce qu'on donne à voir est dynamique : des vêtements renouvelés quotidiennement, en outre, c'est l'interaction avec l'autre qui va déclencher chez moi l'envie de livrer tel trait de ma personnalité ou non. C'est la confiance qui est en jeu, un peu la sensualité aussi, le jeu qui se joue en direct avec l'autre au moment de l'échange.

Mais avec tous ces fichus profils internet, la vie devient statique - donc meurt ! Prenez par exemple cette photo (la même que celle de mon profil blogger) : elle a été prise l'an passée en mai aolrs que j'entrais pour la première fois dans mon nouvel appartement. Cet événement a suscité en moi des sentiments et émotions, qui sont imprimés sur cette photo et qui n'ont rien à voir avec moi en cette fin de matinée ! Entre temps, il peut s'être passé 20 mille trucs dans cet appart qui ont pour conséquence le fait qu'il m'insupporte, par exemple !

Quant aux autres infos qu'on livre dans un profil, c'est du statique une fois encore, avec l'impossibilité de gérer la distance qui varie en fonction de l'interlocuteur. Reprenons l'exemple du profil de l'IED. Ai-je envie de partager avec mes profs et le directeur mon sport préféré, ma musique préférée, que sais-je encore? Non ! Pourtant, l'info est livrée "brute" à tous les membres de l'IED. Quant aux étudiants, il y en a certains que j'apprécie beaucoup et d'autres qui me refroidissent absolument. A ceux-là non plus, je n'ai pas envie de livrer ce type d'infos !

Bref, ces histoires de profil Internet qui semblent incontournables à l'outil informatique produisent de la désinformation ! Désinformation car les éléments proposés, en dehors de toute dynamique de l'interaction languagière brouillent le message adressé à l'autre. Dans une conversation à baton rompu, je ne vais pas livrer tous mes éléments perso en 3 secondes, ils vont être révélés selon ce que l'autre me demande, implicitement ou explicitement et selon ce que j'ai moi, envie de répondre. Et c'est le fil de cette interaction qui fait que l'autre va pouvoir se faire une "idée" de moi-même. Tiens, d'ailleurs, il y a un glissement sémantique : on passe d'"idée" à "profil"...

Allez, trêve de discours monologique ! Puissent ces quelques mots avoir au moins suscité en vous une réflexion que la lecture de Serge Tisseron pourra aider et je n'aurai pas perdu ma journée !

Géraldine

mercredi 23 janvier 2008

Facebook II, le retour !

Ca y est, j'ai compris l'intérêt de Facebook. Si vous voulez comprendre aussi, lisez donc l'article du Monde ci-dessous.

© Le Monde.fr

Non, bien sûr que je n'ai toujours pas compris, mais je me rends compte, et ce n'est pas la première fois, que le Net est un moyen exceptionnellement puissant pour les usurpateurs. C'est bien dommage !

Belle soirée, quand même !

Géraldine

Un petit air de printemps

Il flotte depuis quelques jours un petit air de printemps sur la Provence. Le week-end dernier, j'ai pu travailler chez moi quelques heures la fenètre ouverte, et voici que nous pouvons de nouveau prendre le café du déjeuner en pull dans les jardins. Même si voilà plus de douze années que je vis sous les cieux - pas toujours cléments - de cette belle contrée, la parisienne (tête de chienne ? non !) que je suis ne cesse pas d'être étonnée par les avant goûts du printemps que nous offre la région ! Néanmoins, c'est avec une émotion vraie que j'ai une pensée chaque matin, pour les Parisiens que j'ai dans le coeur, on ne se refait pas !
Mais ce qui demeure curieux à moi francilienne d'origine, ce sont les différences de température à quelques heures d'intervalle. Ce matin à 8h30, il faisait 0°C à Aix en Provence, à midi, une douce tiédeur et ce soir, de nouveau "pelage land" ! Alors c'est à n'y rien comprendre ! Comment s'habiller : col roulé, décolté? Bref, on l'aime bien la Provence, mais son caractère changeant est suprenant !
Et vous, quel temps avez-vous aujourd'hui?
Géraldine

mardi 22 janvier 2008

Tecktonik, avez-vous dit?

Si vous croisez un jour dans la rue une personne qui se désarticule en musique à peu près comme ce que montre la vidéo ci-dessus, et que vous ne comprenez pas, ne vous affolez pas ! C'est que vous commencez à être loin de votre adolescence et que les codes des ados vous sont devenus étrangers !

Cette danse - et oui, c'est une danse, mince alors, ça ne me rajeunit pas ! - s'appelle la Tecktonik.

Voilà, si le sujet vous intéresse, vous trouvervez des vidéos à n'en plus finir sur ce site.

Belle soirée !

Géraldine

de l'intérêt existentiel de Facebook


Voilà quelques temps que j'entends un nouveau mot barbare dans les médias : Facebook ! Intuitivement, je n'en ai jamais compris le fonctionnement. Ce n'est pas un blog, ce n'est pas un site Internet, ce n'est pas un e-mail, c'est un outil à la croisée de ces trois outils. Hein ? Mais qu'est-ce que c'est alors ?

Et bien, malgré quelques moments passés sur le net pour mieux comprendre, le principe de Facebook me demeure bien obscure... J'imagine que ce doit être quelque chose qui ressemble à Copains d'avant en plus puissant. Autant je comprends le fonctionnement de Copains d'Avant, car cet outil permet de reprendre connaissance avec d'anciens amis du collège, lycée ou études supérieures. Mais si j'en comprends le fonctionnement, l'intérêt en est, à mon avis, relativement limité. je me suis livrée au petit jeu de m'inscrire sur Copains d'avant et ai reçu quelques e-mails d'anciens amis. Le problème, c'est qu'une fois qu'on a échangé son statut social : état de vie et profession, force est de constater qu'on n'a pas grand chose à se dire... Qu'importe, on finit, parce que le logiciel nous le propose d'inscrire ces vieilles connaissances comme "amis"! Amis? C'est un bien grand mot pour une connaissance qu'on arrive avec peine, dans le meilleur des cas, à reconnaitre sur la photo, puisque la dernière image qu'on avait d'elle date d'une bonne dizaine d'années au mieux !

Ainsi, outre la divulgation d'informations privée comme mes hobbies, mon style de voiture, mon adresse, les pays que j'aimerais visiter, que sais-je encore..., n'importe quel internaute a accès au nom de nos "amis". Facebook fonctionne sur le même principe, si j'ai bien compris, mais permet plus puissamment de mettre de photos, vidéos, journaux intimes dans son "profil".

Alors, je ne comprends pas. Peut-être est-ce la terminologie qui me gêne "amis". Pour moi, l'amitié, ça n'a rien à voir avec un profil public ! Mes amis, j'ai leur adresse e-mail, leur numéro de téléphone et je communique avec eux en privé ! Facebook propose de se faire des "amis" virtuels, sur le principe du voyeurisme, puisque tout le monde sait qui sont mes amis. Mais avez-vous des amis virtuels? Des personnes que vous n'avez jamais vues, avec qui l'échange s'arrête à quelques mots échangés par internet, par pseudo interposés?

No way for me ! Non merci !

Néanmoins, la dérive initiée par ces outils informatiques n'est pas anodine. La mondialisation a ici un effet pervers : le monde devenant un grand village où tout le monde vit fenêtres ouvertes sans rideau ni volet ! Un autre effet pervers tient à l'illusion d'être célèbre : Je mets des infos perso sur Internet, tout le monde peut potentiellement y avoir accès, me connaitre et m'aimer... Illusion dangereuse et douloureuse quand la réalité revient imposer son ordre établi.

Permettez-moi de terminer ce billet par une petite comparaison avec la psychologie. La schizophrénie est paradiguement décrite par des délires chez les sujets le plus souvent ancré sur une intuition fausse, mais que le sujet tient pour vrai. Le parallèle est édifiant : l'intuition, c'est le fait de croire que je suis un personnage public, vai les infos privées ou intimes que je mets sur la toile. Le délire, c'est de croire que je vais être un nouveau centre du monde grâce à ces amis virtuels qui communiquent avec moi avec une sincérité et une gratuité à mesurer au pseudos qu'ils utilisent.

Enfin, c'est juste un point de vue parmi d'autres. Une fois encore, je me situe à contre-courant de ce monde fondé sur la "peopleisation" (Heu comment on écrit ce mot qu'on entend plusieurs fois par jour dans les médias?).

Et vous, vous en pensez quoi de Facebook?

Belle journée,
Géraldine

dimanche 20 janvier 2008

Une conférence sur le dialogue interreligieux


Amis du dialogue interreligieux, que faites vous jeudi prochain ? Rien de passionnant ? Alors, voici une soirée à ne pas manquer !
Allez faire un tour sur le site Internet de ce lieu magique !

Belle soirée !

Géraldine

jeudi 17 janvier 2008

Un petit coup de pouce pour un étudiant en psycho !

Si le coeur vous en dit, vous trouverez à l'adresse ci-après un questionnaire à remplir pour un étudiant en master de psycho. Il concerne les relations professionnelles.
Allez-y, ça fait du bien de pouvoir s'exprimer et c'est vraiment sympa pour l'étudiant !
http://lauwam.blog4ever.com/blog/lirarticle-167569-585997.html

Merci pour votre aide et belle journée !

Géraldine

mercredi 16 janvier 2008

Faites entrer l'accusé ou petit traité de psychopathologie...

Hier soir, c'était la géniale soirée : d'abord, il y avait trop de vent pour le match de foot, alors ma mouche en short préférée et moi, on s'est installées devant Cold Case. Trop fort France 2 ! Ca m'a fait du bien de revoir le personnage de Lili Rush et de me remettre en mémoire les tubes de l'année 90.

Et après cette géniale série, une géniale émission : Faites entrer l'accusé, présentée par Christophe Hondelatte. Comment ça, vous voyez pas qui c'est ! Bon, ben alors deux options : allumer votre TV mardi soir prochain en deuxième partie de soirée sur France 2, si votre âme n'est pas trop sensible, ou encore votre radio sur RTL demain matin : à défaut de le voir, vous l'entendrez !


Je dis géniale émission, non parce que je suis portée sur le morbide, mais parce que ces émissions donnent toujours quelques éléments psychopathologiques sur le tueur et la victime, ce qui intéresse au premier plan l'étudiante en psychologie que je suis. Et hier, j'ai été servie ! Une histoire étonnante : un type qui a l'air normal, sans ennemi, en pleine santé, sportif, qui se retrouve mort en un mois ! L'histoire n'est pas banale : sa femme a manipulé le médecin de famille, après en avoir fait son amant, au point de le mettre sous influence telle que le médecin, par ailleurs très réputé, s'est "acharné thérapeutiquement" sur le mari, si l'on peut dire, jusqu'à le tuer !

Et là, je dis "merci M. Hondelatte", car cette émission m'a permis de travailler mon cours de psychopatho. Cette femme a été diagnostiquée hystérico-perverse : hystérique, car elle s'est plainte somatiquement au médecin de famille de maux somatiques inexistants et elle a joué de la mythomanie, autre syndrome de l'hystérie, jusqu'à écrire elle-même des mots au médecin en se faisant passer pour sa petite fille, a menti sur le décès de ses deux parents, sur un cancer imaginé, sur une tante qui n'a jamais existé, que sais-je encore...

Alors voilà, il faut savoir que les plus dangereux ne sont pas forcément ceux qui le paraissent le plus : il y a trois organisations psychiques profondes : la structure psychotique, particulièrement caractérisée par des délires de toutes sortes, censés "défendre" le sujet contre une angoisse de morcellement qui conduirait à une mort par éclatement, ce n'est pas le cas de cette femme, qui ne présente aucun symptôme délirant. La structure névrotique ensuite, qui induit chez le sujet un conflit entre ses fantasmes et les interdits qu'on lui a inculqués, et qui se traduit par un refoulement des éléments psychiques qui génèrent un tel conflit, les dits éléments revenant dans la conscience sous forme de symptômes névrotiques. L'organisation état limite enfin, où le sujet, dit psychopathe, est mû psychiquement par une angoisse d'abandon qui se traduit par un clivage psychique. Ce clivage est en fait une sépration dans le psychisme de différents compartiments disjoints les uns des autres. En somme, le sujet état limite présente une blessure narcissique insupportable pour lui, qu'il tente sans cesse de combler en essayant par tous les moyens de se faire bien voir d'Aurtui. Pour l'état limite, autrui n'est pas considéré comme un sujet indépendant doué d'une liberté d'agir, mais comme un moyen d'être comblé narcissiquement. On voit poindre ici la manipulation : il faut se servir de l'autre pour combler coûte que coûte cette faille narcissique qui ronge de l'intérieur. Tous les moyens sont bons : on comprend alors la vie de cette femme hytérico-perverse : pour amener le médecin à entrer dans son jeu, le moyen le plus efficace était de se faire passer pour malade, le clivage a fait le reste, générant pour de bon des syndromes hytériques. Ensuite, il ne restait plus qu'à manipuler, en jouant sur le mensonge pour asservir toujours plus le médecin, choisi comme l'objet qui devait combler la faille narcissique. Le problème c'est que ces processus n'ont pas de sens pour un sujet non état limite, comme vous et moi en somme, du moins je présume. Et c'est la raison pour laquelle on ne trouvait pas de mobile au crime : pas d'enjeu de pouvoir ni de sexe, non simplement le besoin "vital" d'échapper à cette angoisse d'abandon par le comblement de la faille narcissique. Et l'absurde éclate au grand jour durant le procès : une fois que la supercherie a été dévoilée, le médecin ne peut plus jouer le rôle de celui qui comble la faille narcissique, la femme retourne alors sa veste pour clamer le fait qu'elle ne savait pas que le médecin essayait de tuer son mari. Elle, victime, dit-elle, avait pris contact avec le médecin de famille pour sauver son couple, et c'est le médecin, à son insu, qui a empoisonné le mari !

Terrifiant non ? Alors un petit conseil, les états limites sont des gens qui passent le plus souvent entre les mailles des services de soins psychiques, vous pouvez donc être amené à en rencontrer dans votre travail ou dans votre entourage. Lorsqu'une personne se présente "lisse" avec un besoin exacerbé de reconnaissance, posez-vous la question... sans devenir pour autant parano !

Allez sur ces bonnes paroles, belle journée !

Géraldine

mardi 15 janvier 2008

Ensemble, c'est tout !

je vous laisse gouter ce texte délicieux de mon ami Eiffel. Il n'y a rien à ajouter. Bon appétit !

Géraldine


Ensemble c’est tout. Anna Gavalda. Note 8/10.


Avez-vous déjà essayé de réunir dans la même cocotte: une Paulette bien dodue, un beau brin de Camille, un p’ti Philou et un pavé de Franck, épais à souhait ?
« ? »
« Non ? »
« ??? »
« Vraiment pas ? »

Malgré la disparité des ingrédients, je peux vous assurer que si vous suivez la recette qu’Anna Gavalda nous a mitonnée dans « Ensemble c’est tout » -et ce, je dis bien, à la lettre!- vous ne serez pas déçus du met mijoté…

Enfin pour la suivre à la lettre, c’est assez compliqué; tant on courre, que dis-je on vole au devant de ces 570 pages. On a envie de les dévorer les unes après les autres, sans prendre le temps de les accommoder, et encore moins d’en prendre note.

Cette recette, Anna aurait pu la baptiser : « La vie est belle. Mais seulement si on sait la prendre à bras le corps et la forcer à l’être. » Un peu long comme titre de roman narratif, n’est-ce pas Reine Mamadou (technicienne de surface du neuf-trois) ?

« Nan décideument ça’l fait pas… Trop long ton bidule… Bouffon ! »

Mesdemoiselles ou Mesdames les artistes, Messieurs les gastronomes épicuriens et autres Amateurs de belles pages, suivez le guide ! Et… consciencieusement s’il vous plaît ! Attention à la marche !

La Paulette, s’ennuyait ferme dans sa maisonnette, en attendant pieusement que l’heure de son dernier voyage arrive. Et puis, se prendre les pieds dans ses tapis, ou enjamber des trottoirs fuyant l’approche, ce n’était pas bon pour son teint… Cela la bleuissait trop.

Son Franck doit bien malgré lui se rendre à l’évidence: son métier de cuisinier est incompatible avec la survie de sa grand-mère, son âme, son unique amour.

Philibert, cœur d’or tachycarde, encyclopédie historique sur courtes-pates et chevalier sans monture – mais avec armure !-, recueille un oisillon mazouté, un faon apeuré : Camille, qui de musées en galères s’était réfugiée fusains en mains, dans la sous-pente glacée de son immeuble.

Nos quatre protagonistes dorénavant campés, vont nous donner une leçon de vie, chacun en la faisant mariner à sa façon, l’assaisonnant des bouquets garnis extraits de leurs envies. Chaud devant! Attentions aux papilles, car quelles effluves!

Pour usiner la vie, la tordre, en un mot la brusquer afin qu’elle rende tout son jus, et que l’on puisse laper au jour le jour sa bien maigre production, il en faut du courage, voire parfois de l’abnégation. Peut être l’indispensable regard renaissant d’une croqueuse d’art ? Et pour quel épilogue, quand finalement on le temps de se retourner ?

Merci Ch. de m’avoir fait redécouvrir le style vif et les paragraphes très courts d’Anna. Ils sont tout à la fois sa griffe, le reflet de son identité et le levain de sa pâte. C’est à s’en lécher les doigts.

Danse, Coco, danse !

les comportementalistes vont être heureux... Car le conditionnement opérant, ça marche ! Et oui, la musique peut conditionner des réflexes étonnants chez les animaux. On en déduit que le rythme muscial n'est pas traité par le néocortex, puisque les vertébrés ovipares en sont dépourvus !


Vous n'avez rien compris à ces quelques lignes et vous vous inquiétez pour ma santé mentale. Ne vous tracassez pas trop, c'est juste quelques réminiscences des cours de psycho de l'an passé. Et oui, qui l'eut cru : la psycho, ce n'est pas que Freud, loin de là ! Bref, oubliez tout ce charabia et visonnez la vidéo ci-dessous, c'est bon pour le moral !


Belle journée !


Géraldine

2008, l'année de la réussite !


Chères toutes et tous,


c'est avec bien du retard que je viens vous souhaiter une BONNE ANNEE ! Qu'elle vous apporte paix, joie et le succès dans tous les projets qui vous tiennent à coeur !


Géraldine