mardi 20 novembre 2007

A Marie Odile


















André, merci pour ce beau poème... que dis-je, c'est une véritable action de grâce. Je ne peu m'empêcher de vous la partager...

Sur les chemins de cette terre
Des âmes passent puis s'en vont
Certaines sont de vraies lumières
Qui éclairent nos horizons

Elles portent en elles la vie
Aux portes mêmes de la mort
Leur regard s'emplit d'infini
Leurs voiles les poussent au port

Je t'ai vu partir vers ces lieux
Où les ombres s'evanouissent
Où sèchent les larmes des yeux
Amour et paix y resplendissent

Au port de l'éternelle vie
Passagère de ce voyage
Marie-Odile mon amie
Tu viens de toucher le rivage

Nous restons là les yeux mouillés
Faut-il pleurer de notre peine?
Tu nous dis: "non il faut prier
Je suis heureuse et je vous aime".


André Pighiera le 13 novembre 1999.

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